Les alimentations
t1
2n2907
d1
1n4007
c1
1000µ30v
r1
2r2 3W
t2
2n1893
d2
1n4007
c2
2µ2 10v
r2
3K3
t3
2n1893
d3
1n914
c3
10µ 25v
r3
2K7
t4
2n2905
d4
Z 6v2
P1
1K
r4
2K2
t5
2n3055
P2
2K2a
r5
1K
Mon alimentation de labo, version R1 à 0,47Ω.
C'est une alimentation destinée à des montages de tests où la protection contre la surcharge et les courts-circuits, est indispensable.
Le courant traverse R1 de 2,2 Ω. Si l'intensité est inférieure à 500mA, la tension au borne de R1 n'atteint pas 1,2 volts T1 est bloqué. Si l'intensité atteint les 500mA, T1 conduit et met la zener à 0V, l'alimentation est coupée. Si on met R1=1Ω (5W), on pousse l'intensité à 1 ampère, et 2,5A pour R1 à 0,47Ω (10W). Mettre un bon radiateur sur le 2N3055. C3 serra monté directement sur les bornes de sorties.
P1 sert à ajusté la sortie à 15 volts lorsque P2 est à fond.
On prendra soin de mettre un petit galva en sortie et d'y faire des repères pour 1,5v. 3v. 5v. 9v. 12v.
à l'aide d'un multimètre. Source: Electronique Pratique n°1571
L'alimentation des circuits logiques.
Très simplement, avec deux ponts de diodes, quatre condos de filtrages de 4700µF 30V et des régulateurs intégrés montés chacun sur un bon radiateur. Les quatre condensateurs de sorties de 1µF sont montés directement sur les bornes de sorties couplés éventuellement à d'autres de 0,1µ. Je l'ai monté dans un boîtier type mini rack et la prise de sortie est une DB9.
Une petite alimentation pour remplacer les fameux "transfo universel" qui ne sont jamais assez puissant, toujours suralimenté, polaritée à l'envers, enfin jamais "comme il faut".
Voici donc la parade